• NL
  • FR
BoleroPowered by KBC
menu

Orderdesk: 02 303 33 01

Devenir client gratuitementVotre ABC de la Bourse gratuitLogin client
  • Analyses et VisionAnalyses et Vision
  • PlateformesPlateformes
    • Bolero
    • Mobile
  • Marchés et ProduitsOffre
    • Marchés
    • Produits
  • AcadémieAcadémie
    • Produits
    • Plateformes
    • Stratégie & Analyse
  • Événements et FormationsÉvénements
    • Evénements
    • Formations
  • TarifsTarifs
  • SupportSupport
    • Documents
    • Questions fréquemment posées
    • Lexique
Devenir client gratuitementVotre ABC de la Bourse gratuitLogin client
  • Le Blog de Bolero

  • Topic

  • Topic

  • Topic

  • Le monde des ETF

  • Nos analystes

Pourquoi Bolero ?

Six bonnes raisons d'investir avec Bolero
  • Une vision lucide
  • Toujours au premier rang
  • Des experts pour vous
  • Une large offre
  • Une exécution rapide
  • Des tarifs serrés

Demandez un recueil d'infos

Contribution

Ce blog est rendu possible grâce à la contribution des analystes de KBC Asset Management, KBC Securities, KBC Market Research, des Content Managers de Bolero, des économistes et des equity strategists de KBC Groupe :

Allison Mandra, Andrea Gabellone, Benjamin Wolff, Bérangère Bivort, Bernard Keppenne, Cora Vandamme, Dieter Guffens, Dirk Thiels, Ellen Van Tongelen, Guy Sips, Hans Dewachter, Jens Meersman, Jeroen Van den Bossche, Jo Elsocht, Johan Van Gompel, Joren De Mesmaeker, Joris Franck, Kurt Ruts, Laurent Convent, Lieven Noppe, Lynn Hautekeete, Mathias Janssens, Mathias Van der Jeugt, Marion Geubel, Michel Ernst, Michiel Declercq, Peter Wuyts, Philippe Delfosse, Sharad Kumar Surendran Palani, Siegfried Top, Steven Vandenbroecke, Thibault Leneeuw, Thomas Couvreur, Thomas Vranken, Tom Noyens, Tom Simonts, Wim Hoste en Wim Lewi.

Disclaimer

La présente publication de KBC Bank SA (Bolero) est fournie à titre d'information uniquement et ne constitue pas un conseil d'investissement spécifique et personnel, ni une offre ou une sollicitation d'offre d'achat ou de vente des produits financiers qui y sont mentionnés, ni une recherche d'investissement indépendante.
 
Le service fourni par Bolero n'est pas basé sur des conseils d'investissement. Bolero est la plateforme d'exécution d'ordres de KBC Bank SA par laquelle les transactions sur des produits financiers "non complexes" (au sens de MiFID II) sont effectuées sur la base d'une "simple exécution (exécution only)". Bolero n'effectue pas de "test d'adéquation" pour les transactions portant sur des produits financiers non complexes. L'investisseur qui fait appel à ce service ne bénéficie donc pas de la protection des règles de conduite applicables. Les transactions portant sur des produits financiers "complexes" (au sens de la directive MiFID II) ne peuvent être effectuées qu'après une évaluation d'adéquation réussie. Les transactions par l'intermédiaire de Bolero se font toujours à l'initiative de l'investisseur. 
 
Lors de l'exécution et/ou de la transmission des transactions de l'investisseur, Bolero ne tient pas compte des aspects fiscaux, juridiques ou comptables liés à ces transactions, ne fournit pas de conseils relatifs à ces aspects et ne peut donc pas en être tenu responsable.
 
Investir dans des produits financiers comporte des risques. Les investisseurs doivent être en mesure de supporter le risque économique d'un investissement et de perdre tout ou partie du capital investi.
 
Copyright © KBC Bank SA/Bolero. Tous droits réservés. Ces informations ne peuvent être publiées, réécrites ou republiées sous quelque forme que ce soit.Le "blog" contient des publications de KBC Securities SA (https://research.kbcsecurities.com/portal/portal.html#!/disclosures), KBC Asset Management SA (https://www.kbc.be/particuliers/fr/informations-legales/documentation-investissements.html#actions ), KBC Economics (https://www.kbc.com/fr/economics.html) et de CBC. Pour ce qui concerne les sources externes, Bolero consulte divers sites d'information. Les contributions sont sélectionnées sur la base d'événements et de publications récents et concrets. La rédaction est faite par Tom Simonts, Steven Vandenbroeke en Jasmine Heyvaert (KBC Economics) ou Sarah De Pauw, Bérangère Bivort, (équipe de marketing Bolero, KBC Bank SA, est supervisée par la FSMA). 

mar. 3 déc. 2024

9:06

Le blog de Bernard Keppenne : « La France vacille »

Partager cette page:

  • Tweet
  • Share
  • Share

La citation de Pierre Daninos résume bien à elle seule la situation de la France, lui qui avait dit, « nous étions au bord de l’abîme, mais depuis, nous avons fait un grand pas en avant ».

L’abîme

Pour pousser l’absurde à son maximum, les deux extrêmes sont capables de trouver une majorité pour faire tomber le gouvernement, mais aucune majorité ne se trouve pour gouverner le pays.

Macron est bien évidemment le premier responsable de cette situation, mais de voir les parlementaires préférer leurs agendas personnels à la gestion du pays est un bien triste spectacle, mais surtout avec des conséquences extrêmement lourdes.

Barnier tombera demain ou après-demain, et vendredi le blocage sera total. Sans surprise, le différentiel de taux entre le Bund et l’obligation française s’est élargi après l’annonce de la censure du gouvernement.

Et si l’euro a légèrement reculé, c’est plutôt la fermeté du dollar qui explique cela, et il suffit d’observer le recul assez net du yuan par rapport au dollar pour s’en convaincre. Cette chute du yuan est évidemment liée aux propos de Trump et aux risques de hausse des tarifs douaniers sur les importations chinoises.

La question est maintenant de savoir s’il y a un risque de contagion aux autres obligations d’États de la zone euro, et à ce stade, ce risque est minime car les autres pays ne sont absolument pas dans la même situation politique que la France. Par contre, une baisse du rating de la France est inéluctable vu le blocage total dans lequel va se retrouver le pays.

Économie solide

Le dollar est ferme aussi parce qu’hier a été publié de nouveaux indicateurs qui ont montré que l’économie américaine continuait de rester solide, et que les promesses de Trump avaient renforcé la confiance.

Ainsi, même si l’indice PMI manufacturier est resté en territoire négatif, il est passé de 46.5 en octobre à 48.4 en novembre, et se détache complètement de la tendance de son homologue en zone euro.

L’industrie n’est pas tirée d’affaire, et le début de l’année 2025 sera encore compliqué, mais au moins la situation ne se dégrade plus. Et l’indice ISM manufacturier, publié au même moment, ne dit pas autre chose.

Il demeure également en territoire négatif, avec cependant un sous-indice des nouvelles commandes qui est passé de 47.1 à 50.4, et élément important, un sous-indice de l’emploi qui est passé de 44.4 à 48.1.

Ce sous-indice confirme que les chiffres du marché de l’emploi du mois d’octobre ne reflétaient pas l’état réel de ce dernier à cause de la grève chez Boeing et de l’impact de deux ouragans.

Ce vendredi seront d’ailleurs publiés les chiffres pour le  mois de novembre, et l’estimation est celle de 200 000 créations d’emploi contre 12 000 le mois passé. Nous aurons déjà une première indication avec la publication cet après-midi de l’indice JOLTS, qui indique l’évolution des emplois disponibles.

Ces indicateurs encourageants ne devraient cependant pas faire dévier la FED de son intention de baisser ses taux dans deux semaines. Et c’est ce qu’a clairement laissé entendre, le gouverneur de la FED, Christopher Waller, en déclarant « la politique est encore suffisamment restrictive pour qu’une réduction supplémentaire lors de notre prochaine réunion ne modifie pas radicalement l’orientation de la politique monétaire et laisse une grande marge de manœuvre pour ralentir ultérieurement le rythme des réductions de taux, si nécessaire, afin de maintenir les progrès vers notre objectif d’inflation ».

Il a cependant souligné que les données sur l’inflation, l’emploi et les dépenses de consommation, publiées d’ici la réunion de la FED, seront importantes pour décider si les taux doivent être abaissés comme prévu ou non. D’où la prudence de ses propos « toutes ces informations m’aideront à décider s’il faut baisser les taux ou ne pas le faire. À partir d’aujourd’hui, je penche en faveur de la poursuite du travail que nous avons entamé pour ramener la politique monétaire à un niveau plus neutre ».

Et de préciser, « si les données que nous recevons entre aujourd’hui et la prochaine réunion nous surprennent d’une manière qui suggère que nos prévisions de ralentissement de l’inflation et d’une économie modérée mais toujours solide sont erronées, alors je soutiendrai le maintien du taux directeur ».

Pour la suite, il se montre plus prudent sans donner d’indication jusqu’où pourrait aller la FED en estimant que « il est évident que la politique monétaire continue d’être très restrictive et qu’une nouvelle réduction signifiera seulement que nous n’appuyons pas aussi fort sur la pédale de frein. Je m’attends à ce que les réductions de taux se poursuivent au cours de l’année prochaine jusqu’à ce que nous nous approchions d’un niveau plus neutre du taux directeur ».

Déception

Sur la période de juillet à septembre, la croissance de l’économie indienne n’a été que de 5,4 % en taux annuel, soit son rythme le plus lent depuis deux ans.

Ce chiffre s’explique par la faiblesse de la production industrielle et de la demande des consommateurs et est très loin des 7 % estimés par la Banque centrale.

Il faut dire que la production industrielle, qui avait affiché une hausse de 14 % les trois mois précédents, n’a connu qu’une croissance de 2,2 %.

C’est une mauvaise nouvelle pour la Banque centrale qui est confrontée à une inflation élevée qui l’empêche de baisser les taux. Cette dernière se situe à 6,2 % alors que l’objectif de la Banque centrale est de maintenir l’inflation dans une fourchette de 2 % à 6 %.

Mais pour certains, elle a de la marge de manœuvre, car l’inflation sous-jacente s’est établie en moyenne à 3,3 % entre avril et octobre 2024, contre 4,9 % au cours de la même période en 2023.

La faiblesse de la roupie indienne est évidemment aussi un élément qui freine la Banque centrale dans sa possibilité de baisser les taux.

Source : Bernard Keppenne, Chief Economist - CBC Banque & Assurances

Revenir à l'aperçu
Investir en ligne judicieusement
Devenir client gratuitementVotre ABC de la Bourse gratuitLogin client
Analyse et Vision
  • Analystes
  • Le Blog de Bolero
  • Focus sur Actions
Plateformes
  • Bolero
  • Mobile
Marchés et Produits
  • Marchés
  • Produits
Académie
  • Produits
  • Plateforme
  • Stratégie & Analyse
Événements et Formations
  • Événements
  • Formations
À propos de Bolero
  • Actualités
  • Bolero aujourd'hui
  • Relation Bolero et le Groupe KBC
Tarifs
  • Tarifs
Support
  • Documents
  • FAQ
  • Lexique
  • Plaintes
  • FAQ: MIFID II
Récompense

Partenaires

Bolero Crowdfunding

  •   Home
  • Analyses et Vision
  • Plateformes
  • Marchés et Produits
  • Académie
  • Événements et Formations
  • Tarifs
  • Support
Powered by KBC }}

Powered by KBC

  • © Bolero 2025
  • Privacy statement
  • Conditions juridiques
  • Plan du site