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Ce blog est rendu possible grâce à la contribution des analystes de KBC Asset Management, KBC Securities, KBC Market Research, des Content Managers de Bolero, des économistes et des equity strategists de KBC Groupe :

Allison Mandra, Andrea Gabellone, Benjamin Wolff, Bérangère Bivort, Bernard Keppenne, Cora Vandamme, Dieter Guffens, Dirk Thiels, Ellen Van Tongelen, Guy Sips, Hans Dewachter, Jens Meersman, Jeroen Van den Bossche, Jo Elsocht, Johan Van Gompel, Joren De Mesmaeker, Joris Franck, Kurt Ruts, Laurent Convent, Lieven Noppe, Lynn Hautekeete, Mathias Janssens, Mathias Van der Jeugt, Marion Geubel, Michel Ernst, Michiel Declercq, Peter Wuyts, Philippe Delfosse, Sharad Kumar Surendran Palani, Siegfried Top, Steven Vandenbroecke, Thibault Leneeuw, Thomas Couvreur, Thomas Vranken, Tom Noyens, Tom Simonts, Wim Hoste en Wim Lewi.

Disclaimer

La présente publication de KBC Bank SA (Bolero) est fournie à titre d'information uniquement et ne constitue pas un conseil d'investissement spécifique et personnel, ni une offre ou une sollicitation d'offre d'achat ou de vente des produits financiers qui y sont mentionnés, ni une recherche d'investissement indépendante.
 
Le service fourni par Bolero n'est pas basé sur des conseils d'investissement. Bolero est la plateforme d'exécution d'ordres de KBC Bank SA par laquelle les transactions sur des produits financiers "non complexes" (au sens de MiFID II) sont effectuées sur la base d'une "simple exécution (exécution only)". Bolero n'effectue pas de "test d'adéquation" pour les transactions portant sur des produits financiers non complexes. L'investisseur qui fait appel à ce service ne bénéficie donc pas de la protection des règles de conduite applicables. Les transactions portant sur des produits financiers "complexes" (au sens de la directive MiFID II) ne peuvent être effectuées qu'après une évaluation d'adéquation réussie. Les transactions par l'intermédiaire de Bolero se font toujours à l'initiative de l'investisseur. 
 
Lors de l'exécution et/ou de la transmission des transactions de l'investisseur, Bolero ne tient pas compte des aspects fiscaux, juridiques ou comptables liés à ces transactions, ne fournit pas de conseils relatifs à ces aspects et ne peut donc pas en être tenu responsable.
 
Investir dans des produits financiers comporte des risques. Les investisseurs doivent être en mesure de supporter le risque économique d'un investissement et de perdre tout ou partie du capital investi.
 
Copyright © KBC Bank SA/Bolero. Tous droits réservés. Ces informations ne peuvent être publiées, réécrites ou republiées sous quelque forme que ce soit.Le "blog" contient des publications de KBC Securities SA (https://research.kbcsecurities.com/portal/portal.html#!/disclosures), KBC Asset Management SA (https://www.kbc.be/particuliers/fr/informations-legales/documentation-investissements.html#actions ), KBC Economics (https://www.kbc.com/fr/economics.html) et de CBC. Pour ce qui concerne les sources externes, Bolero consulte divers sites d'information. Les contributions sont sélectionnées sur la base d'événements et de publications récents et concrets. La rédaction est faite par Tom Simonts, Steven Vandenbroeke en Jasmine Heyvaert (KBC Economics) ou Sarah De Pauw, Bérangère Bivort, (équipe de marketing Bolero, KBC Bank SA, est supervisée par la FSMA). 

lun. 2 déc. 2024

9:27

Le blog de Bernard Keppenne : « Les marchés retiennent leur souffle »

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Les convoyeurs attendent, et parmi ces derniers, il y a l’agence de notation S&P, qui a annoncé, vendredi, maintenir la note AA- de la France avec une perspective stable, pour le moment.

Tombera, tombera pas ?

S&P s’est en tout cas montrée optimiste après avoir maintenu la note de la France en déclarant, « malgré l’incertitude politique persistante, nous prévoyons que la France se conformera – avec un certain retard – au cadre budgétaire de l’UE et consolidera ses finances publiques sur le moyen terme ».

Mais S&P s’est quand même laissée une porte de sortie en ajoutant, « nous pourrions abaisser la note de la France si le gouvernement n’est pas en mesure de réduire ses importants déficits budgétaires ou si la croissance économique est inférieure à nos projections sur une période prolongée ».

Et elle pourrait devoir agir rapidement, car le gouvernement Barnier pourrait activer le 49.3 et dès lors enclencher sa chute cette semaine.

Inflation en hausse

Sans surprise, l’inflation dans la zone euro a augmenté en passant de 2 % en octobre à 2,3 % en novembre, et l’inflation sous-jacente de 2,7 % à 2,8 %.

Ces chiffres ne changent pas grand-chose, sauf peut-être qu’une baisse de 0,50 % des taux par la BCE en décembre semble plus compliquée.

Pour autant, le processus de désinflation devrait se poursuivre, et l’inflation devrait revenir vers les 2 % sans doute sur la seconde partie de l’année prochaine.

Croissance en Belgique

Ah oui à propos, les convoyeurs attendent aussi la formation de notre gouvernement.

En attendant, la croissance en Belgique, au troisième trimestre, a été de 0,3 %, soit un taux annuel de 1,2 %, selon la BNB.

La consommation privée a clairement été le moteur de la croissance avec un taux de 1,4 % par rapport au trimestre précédent. Alors que l’industrie a reculé et que les investissements des entreprises se sont fortement contractés d’un trimestre à l’autre.

Dernier constat dans le communiqué de la BNB, « au troisième trimestre de 2024, la croissance de l’emploi intérieur sur une base trimestrielle a été quasi nulle, affichant une légère hausse de 1 500 personnes (+0,0 %). Par rapport à la période correspondante de 2023, le nombre de personnes occupées s’est accru de 0,2 %, soit 10 100 personnes ».

Tant qu’on peut

Effet des mesures de relance par les autorités chinoises, ou empressement à commercer tant que Trump n’est pas encore à la Maison Blanche ? En tout cas, les indices PMI manufacturiers en Asie montrent une légère amélioration, en Chine et une partie des pays asiatiques, mais pas tous.

En Chine, les indices PMI manufacturiers officiels et non officiels ont tous les deux progressé et c’est clairement parce que les acheteurs étrangers se sont empressés de passer des commandes, alors que la demande intérieure est restée assez faible.

Si certains pays de l’Asie du Sud-Est, ont profité de cette embellie, par contre d’autres sont restés en territoire négatif, comme l’Indonésie et la Malaisie.

Preuve d’ailleurs que la situation est fragile et qu’il faut peut-être en profiter, Trump a proféré de nouvelles menaces destinées cette fois-ci aux pays repris sous l’acronyme BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).

Il a en effet écrit sur son réseau Truth Social « nous réclamons un engagement de la part de ces pays sur le fait qu’ils ne créeront pas une nouvelle devise BRICS ni ne soutiendront aucune autre devise pour remplacer le puissant dollar américain sinon ils subiront des droits de douane de 100% et doivent s’attendre à dire au revoir à la perspective de vendre dans la magnifique économie américaine. Ils peuvent essayer de trouver un autre « pigeon ». Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar dans le commerce international et tout pays qui essaie de le faire devrait dire au revoir à l’Amérique ».

Au Japon aussi, la situation n’a pas évolué favorablement avec un indice PMI manufacturier qui est passé de 49.2 en octobre à 49 en novembre, avec un sous-indice des nouvelles commandes qui a poursuivi sa contraction, ainsi que celui des nouvelles exportations affichant un déclin pour le 33ème mois consécutif.

Et pour compliquer la position de la BOJ, les pressions sur les coûts des intrants sont restées fortes en raison de la hausse des prix de la main-d’œuvre, de la logistique et des matières premières, en particulier en provenance de l’étranger.

Ce qui explique en partie pourquoi, le rendement des obligations japonaises à deux ans a atteint son plus haut niveau depuis 16 ans.

Mais en partie aussi après des propos tenus par le gouverneur de la BOJ, Kazuo Ueda, dans le journal Nikkei. On peut y lire en parlant de la hausse des taux, « nous pouvons dire qu’elle se rapproche dans le sens où les données économiques sont en bonne voie pour atteindre nos prévisions ».

Et de préciser, « nous ajusterons le degré d’assouplissement monétaire au moment opportun si nous sommes convaincus que l’inflation sous-jacente s’accélère pour atteindre l’objectif de 2 % de la BOJ au cours de la seconde moitié de sa période de projection de trois ans allant de l’exercice 2024 à 2026 ».

Pour cela, la BOJ suivra de près l’évolution des salaires, qui ont progressé à un rythme de 2,5 % à 3 % en glissement annuel.

Autre point d’attention, pour lui, si le yen continuait à se déprécier après que le taux d’inflation du pays a dépassé l’objectif annuel de 2 %, cela pourrait constituer une menace potentielle pour les projections économiques de la Banque centrale et justifier une réaction.

Mais sans doute que sa plus grande crainte est l’évolution de la situation aux Etats-Unis, il estime qu’il y a un « grand point d’interrogation » sur les perspectives de cette dernière, telles que les retombées de la hausse des tarifs douaniers annoncée par le Trump.

Dans le tableau mensuel, il faut souligner la piètre performance du CAC40, et étonnamment, la très bonne performance du DAX. Et la forte hausse de l’or depuis le début de l’année.

Source : Bernard Keppenne, Chief Economist - CBC Banque & Assurances

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